De nombreux étals sur le marché.
Un marchand de cassettes.
Des poissons séchés. Leur odeur n'était pas très appétissante mais une fois cuisinés c'était nettement mieux (j'ai eu l'occasion d'en goûter et je ne le regrette pas)
La des petits tas bien arrangés et proprement, ce qui était assez rare.
Toujours beaucoup de monde sur le marché.
Ce sont les hommes qui font la couture.
Dans le fond une cliente attend sa commande!
Un transport en commun peu ordinaire.
Un grand choix de boubous chez les couturiers.
Une belle quantité de bouteilles d'huile de palme.
Une exposition d'artisanat devant l'hôtel "Poubara" (c'était assez fréquent)
La sénégalaise et ses beignets.
Un coiffeur en pleine rue.
Un cordonnier.
Les sénégalaises au repos.
Ces beignets étaient très bons et on pouvait en acheter en bouteille (hé oui! ça se met en bouteille) et eux étaient un peu plus durs mais aussi bons que les autres.
Et bien sûr, sur le marché de "poto-poto" on ne pouvait pas se passer du "coupé-coupé" avec un peu de "pili-pili" et une bonne "régab" (la bière Gabonaise). Nous n'avons pas revu cela depuis "kala-kala" et non "depuis-depuis" (pour les connaisseurs). Une façon particulière de cuire la viande et c'était très bon. Immanquable le matin après avoir déposé les enfants à l'école (servit dans du papier journal par exemple ou de vieux sacs de ciment).
Et toujours ces petits étalages.
Un dépôt de pain (on en trouvait à toute heure)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire